Le lendemain Ivy se leva tôt pour faire sa toilette à Layla et camoufler sous du maquillage le visage de sa maitresse. Afin que personne ne constate a quelle point ces joues étaient enflés. Layla quant à elle n’avait pas su clore ces paupières de toute la nuit. Trop perturbés par le baisée qu’elle avait échangée avec Terrence. Cependant le simple fait de le dire à Ivy pourrait marqué la fin de ses sortis nocturnes. Elle décida alors de lui cacher.
I : Je crois que ça devrait faire l’affaire. Fis-t-elle en admirant son œuvre dans le miroir. Lexa… Layla tu m’entends. Layla absorbé par la pensée fugueuse de se baiser ne sut entendre les paroles qu’Ivy lui adressait.
Celle-ci compris aussitôt que quelques choses préoccupait son ami. Layla ! Cria-t-elle.
L : Oui qu’y-a-t-il répondu-t-elle surprise.
I : Cela fait un moment que j’essaie d’attirer votre attention.
L : Oui, excuse-moi j’étais juste absorbé pas mes pensées.
I : J’espère pour vous et pour moi que ce n’est pas ce que vous y avez vu qui occupe vos pensées. Elle essaya de le nier en remuant la tête volontairement. Elle préférait qu’elle pense que ce qu’elles avaient seulement vu la préoccupait.
L : Eh bien.
I : Non Layla. Elle porta sa main droite à son front . Ce que vous aviez vu hier. Vous étiez normalement censé le découvrir après votre mariage, lors de votre lune de miel pas en vous promenant dans ce genre d’endroit. Nous n’aurions pas dû nous y rendre je le savais. Se lamenta-t-elle en allant s’asseoir sur le lit.
L : Non je te l’interdis. Affirma-t-telle en allant s’asseoir près d’elle au bord de son lit.
I : Je suis encore sous le choc certes mais cela n’influencera pas mes habitudes. J’essaierais de ne pas succomber. Aie juste confiance en moi.
I : Es-tu sur ? Que tout va bien ?
L : Oui ne t’en fais pas. Elle l’a pris dans ces bras.
Au même moment l’on toqua à ma porte Ivy et elle se levèrent et chacune repris sa place habituelle.
L : Entrer !
Lily entra dans la pièce suivit de nos femmes de chambre. Elle fut surprise de constater qu’Ivy m’avait déjà préparé pour la journée. Et lui sourit avant de se tourner vers moi.
Li : Bonjour mademoiselle.
_ : Bonjour à vous mademoiselle Williams. Elles lui firent une révérence comme il en était de coutume.
L : Bonjour à vous Lily et à vous tous. Comme je peux le voir vous semblez vous êtes bien reposée.
_ Oui madame. Me répondirent-elles en chœur.
L : Très bien le bal est prévu pour dans deux jours. Attendez-vous à ce que la journée soit longue.
Su : Si je puis me permettre.
L : Continuez.
Su : Aujourd’hui vous resplendissez mademoiselle.
L : La nuit a été de bon conseil, je crois avoir trouver de nouvelle idée pour impressionner la reine cette lady Whistledown et à travers elles toute la haute société monarchique.
Du coté des Bridgerton
La duchesse et le duc d’Atkins venaient de rentrer en ville pour un court séjour afin de saluer les membres de la famille de la duchesse. A cette nouvelle toute la petite maisonnée était en alerte festive.
El : Daphnée ! S’écria enthousiasment Eloïse en venant la saluer. Qui aurait cru que vous m’auriez manqué à ce point ?
Da : Etre enfin à la maison, vous ne savez pas à quelle point cela me fait un bien fou.
Hy+Gr : Daphnée !
Les deux petits derniers des Bridgerton allaient enlacées leur grande sœur avec fougue. Ce qu’elle les lui rendit affectueusement.
An : Pourquoi diable y-a-t-il tant de grabuge dans cette maison ? Questionna le vicomte en descendant des escaliers à son bras sa compagne et à son côté de Benedict.
B : Etiez-vous tous deux tant absorbés au point ou vous n’avez pu entendre les dire de notre mère la veille ? Notre petite sœur est rentré.
An : L’avait-elle dit ?
Kate haussa les épaules.
An : Cela n’a plus d’importance.
D : Anthony Bridgerton.
An : Daphnée Atkins.
Ils se regardaient longuement avec des regards joueurs avant de s’enlacer.
D : Vos manières m’ont manqué.
An : Les vôtres également.
B : N’y-a-t-il pas de place pour un autre Bridgerton.
D : Oh Benedict ! Ils s’enlaçaient.
_ : Voyons laisse là un peu respirer. Annonça leur mère en l’enlaçant à sa vue. Oh mon enfant ! Vous m’avez tellement manquer.
D : Vous également. Et Coline et Francesca ?
_ : Coline poursuit toujours ces aventures quant à Francesca elle est là.
Fr : Daphnée
D : Oh viens là. Elles s’enlaçaient
An : Et je peux savoir ou est votre mari et votre enfant ?
D : Ils sont tous deux au dehors.
Ils se dirigèrent alors tous vers le jardin.
Et leur retrouvaille n’en finissait pas. Après s’être calmée, ils se retrouvaient tous dans la salle de thé ou il en prenait et discutait jovialement.
An : Alors dites-nous, pourquoi être revenu maintenant.
_ : Anthony !
D : Mère laissez-le. Comme vous j’ai aussi eu vent du retour de la famille Williams en Angleterre. Ils sont à peine là depuis un mois qu’ils font déjà parlé d’eux depuis la compagne.
An : Je comprends.
D : Je tenais donc à les saluer… Avez-vous eut vent du type de bal auxquelles nous allons assisté ?
Ils se regardaient interloqués.
D : Toute la monarchie ne fait qu’en parler. De nouvelles invitation ont été rédigée et réexpédiez aux invités.
El : Pas tous les dieux. Elle n’a pas osé. Dit Eloïse en dépliant une feuille de papier.
_ : Qu’y-a-t-il mon enfant ?
D : Nous sommes cordiez à un bal masqué.
El : Et notre chère Layla n’a pas su retenir son encre, elle ridiculise lady Whistledown dans cette invitation. Affirma-t-elle en riant.
Hy : Faites voir. Supplia Hyacinthe en courant vers Eloïse suivit de Gregory. Ils s’arrachaient les invitations les uns les autres.
_ : A vrai dire je me demande bien ce qui me surprend le plus.
An : Vous n’êtes pas la seule mère.
B : D’après moi c’est plutôt les préjugés de Layla.
An : Je ne pensais pas qu’elle avait un si fort caractère.
El : Je conçois que c’est osé mais l’idée d’un bal masqué reste une première.
Ka : Je rejoins Eloïse sur ce coup. Veuillez m’en excusé mon cher mari.
Hy : Je suis Anthony pour ma part.
G : Je soutiens l’opinion d’Eloïse.
B : Pourquoi argumentez-vous ? Vous n’y prendrez pas part de toute façon. Confirma Benedict en les taquinant. Ils se mirent à rirent. Et vous mère ? Daphnée et mon beau-frère ? Départagé-nous ! Puisque nous sommes à égalité.
_ : Eh bien je vous avoue que je suis mitigé.
D : Je me joins à vous Eloïse, vu son tempérament elle a du devenir une forte jeune fille.
El : Elle l’est devenu, nos grands frères peuvent en témoignez.
Ils se raclaient la gorge et Kate jeta un regard à Antony qui le détourna automatiquement. Elle comprit et se leva en prétendant une soudaine in conformité et quitta la pièce. Anthony fit mine de rien et poursuivit.
An : Et vous ? Suivrez-vous le camp des hommes ou préféré vous vous joindre au femme.
_ : Je ne la connais pas encore mais elle à l’aire d’avoir du cran je doute que la saison soit de toute ennuis avec elle en tant que diamant. Et si nous rallongions notre séjour à Londres ?
D : Je n’en serai que ravis.
Daphnée et son époux remarquaient son comportement mais se contentaient de boire leur thé en préparant dans leur tête une entrevue privée avec le vicomte pour plus tard.
Ils n’étaient pas les seules, toute la société monarchique était secoué par ces drôles invitations.
La reine de son côté reçu également la sienne. Elle prenait en effet le thé avec lady Danbury quand la nouvelle lui parvint.
_ : Un bal masqué. Quelle nouvelle réjouissante. Valet rappelez ma modiste pour des retouches de dernière minutes. Et qu’on fasse venir des marchands de masque. Il nous en faut un chacun. Qu’en dites-vous lady Danbury.
_ : Que vous ne vous êtes pas trompez cette saison.
_ : Fort bien. Attendez en dessous il y est marqué quelques choses.
« Avis à vous cher ami de la société mondaine. Comme vous le savez tous certainement nous les Williams avions été absent près d’une décennie en Angleterre. Pour cela notre famille à vue son nom trainée dans la poussière depuis notre retour par une chroniqueuse. Toutefois une question me brule sur les lèvres. Comment une personne qui dissimule son identité peut-elle avoir le droit de proliféré des jugements sur la conduite que doit tenir une jeune dame. Peut-être parce que vous-même êtes dépourvu de classe. Je vous invite qui que vous soyez à répondre à ma question. Quoi qu’il en soit ne nous attardons pas sur le sujet. Ma famille et moi avons l’honneur d’ouvrir les hostilités au début de cette nouvelle saison mondaine. En vous conviant à un bal. Ce bal aura pour terme « bal masqué ». Le titre étant déjà évocateur. Nous n’admettrons pas d’invité sans un masque à l’intérieur de notre demeure. Et comme il est de coutume dès que les douze coups de minuit auront sonnées les masques tomberont. Prenez garde lady Whistledown à ne pas perdre votre masque.
Cordialement
Layla Williams »
_ : Quelle audace ! Je donnerais cher pour voir la tête que notre chère lady Whistledown fais actuellement.
_ : Comme je le disais, vous ne vous étiez pas tromper sur son compte.
Le soir même chez les Williams l’invitation n’était pas passé inaperçu. Ils lisaient tous cela en riant à cœur joie. Vu l’effet qu’elle faisait dans toutes les rues de Londres.
J : C’est assé provocateur ce que vous avez écrit.
E : Cette chère lady Whistledown doit-être furieuse.
K : Elle la mérité. Je vous félicite chère sœur. Vous ne l’avez pas épargné.
L : J’ai juste écrit la vérité.
K : Et l’invité à notre bal n’était-ce pas un peu oser.
L : C’était plutôt un piège. D’après ce que j’ai remarqué en étudiant ces chroniques. C’est qu’elle ne critiquait que ceux de la société mondaine. Et par hypothèse pour avoir autant d’information elle doit-elle-même faire partit de la nôtre. En plus nous savons qu’elle est une femme. Tous les suspects potentiels ont été soigneusement invité et seront surveillé de près par nos valets.
E: C’est bleffant. Qui aurait cru que dans cette petite tête sommeillait un génie ?
K : C’est notre Layla après tout.
J : J’ai une question. Un silence de plomb s’installa quand Jared prit la parole.
L : Oui pose là.
J : Et si l’un des familles ciblés déclinaient l’invitation.
L : Ce serait dangereux sachant que la reine en personne y participerait. Mais si effectivement cela venait à se passer. Je porterais à la reine les raisons pour laquelle je les soupçonne de proféré contre son autorité. Et lui glisserait la puce que lady Whistledown serait peut-être l’un d’entre eux.
J : Dans ce cas nous n‘aurons qu’a espérez qu’elle tombe dans ton traquenard.
Le lendemain soir, toutes les préparations en vue du bal étant déjà presque achevé. Ivy dans une dernière vérification passa devant la salle de musique dont la porte était entre ouverte. Et vu Jared tenant un violon et bientôt elle se surpris à l’écouter jouer. Elle avait déjà pris cette habitude quant-elle n’avait pas quelques choses de prévus pour le lendemain elle s’asseyait sur le sol et écoutait Jared jouer du violon tellement il était doué. Harpe, violon, piano, flute... rien ne lui restait. Et quand il les tenait, il savait comment faire sortir des sons prodigieux de ces différents instruments. Il jouait si bien et elle était tellement en admiration devant son travail que parfois elle s’entendait fredonnée ces partitions de musique en faisant ces divers tâches domestiques. Elle avait rendez-vous dans la chambre de Layla qui était apparemment urgent. Quand soudainement la porte s’ouvrit en entier. Elle sursauta. Jared devant elle tenant un violant la chemise à moitié boutonnée laissant entre voir quelques parties de son corps blanc sculpter avec des matériaux de pointe digne d’une statue grec. Elle voulait s’enfuir mais il attrapa son bras. Elle sentit son pouls s’accélérée et lui ne la quittant par des yeux. Elle voulut prononcée des excuses quant-il l’attira soudainement vers lui et ferma la porte. Dos collé à la porte, sa main tenant toujours délicatement la sienne. Il la dominait par la taille ce qui fit monté en elle de l’excitation. Et elle avait du mal à contenir les battements de son cœur ces joues étaient rouges aucun son n’arrivait à sortir de sa bouche. Elle était comme hypnotisée par lui. Il plongea quelques instants son regard dans le sien. Cet échange fur si intense qu’il la fit frissonné. Aucun contact mais elle sentit qu’elle était à deux doigts de gémir devant une telle intensité. Il finit par détourner son regard de façon brutale ce qui la fit immédiatement redescendre de ces escarpons. Il s’éloigna d’elle et alla s’asseoir sur le tabouret de son piano.
J : Je crois qu’il est préférable que vous m’écoutiez jouez du piano. Il était nerveux. Elle l’aurait remarqué si elle-même n’était pas préoccupé. A force de l’avoir espionner, elle savait tout de lui. Et souvent quant-il était énervé ou en colère il s’asseyait et jouait du piano mais cela elle ne l’avait pas remarqué. Elle était trop perturbé par l’idée qu’elle ne lui faisait aucun effet. Quelques jours auparavant elle avait vu Suzy sortir de sa chambre un matin discrètement. Elle s’était tout de suite imaginé étonnement autant de scène dans sa tête. Elle ne supportait plus le poids de ses jambes et se laissa tomber au sol. Jared se leva et accouru vers elle.
J : Vous allez bien, Ivy ? C’était la première fois qu’il prononçait son prénom et elle sursauta. Il tenais l’arrière de sa tête dans ces mains et la regardait d’un regard anxieux. Elle resta silencieuse quelque peu subjugué par sa beauté surtout par ces pupilles d’un noir profond qui emprisonnait son cœur.
I : Non je ne vais pas bien vous m’attirez dans cette pièce et vous me délaissez pour jouer du piano. Ne suis-je pas aussi attirante qu’elle. Par contre je n’ai qu’une peau entachée de ces taches de rousseur que j’essaie tant bien que mal de faire partir. Et par-dessus un corps maigre dénudé du moindre atout féminin mais malgré cela je reste une jeune fille mais bientôt une femme que j’espérais grâce à vous. Finis-t-elle les joues rouges. Il la regarda interloqué pendant un moment avant de finalement poussé un petit rire mignon. Je ne vois pas encore monsieur ce qui pourrait faire rire dans tout ce que je vous ai confessé. Dit-elle en se relevant, refusant toute aide venant de lui.
J : Veuillez m’excuser tout d’abord. Fis-t-il en se tenant devant elle. Comme vous l’avez surement remarqué je ne suis pas très bavard et j’ai peine à montrer ce que je ressens. Les joues d’Ivy viraient au rouge. Donc il savait qu’elle l’espionnait.
I : Je ne vois pas de quoi vous parlez, mon lord.
J : Jared s’il vous plait. Vous êtes l’ami la plus proche de ma sœur.
I : Très bien Ja… Jared. Donc vous saviez que je vous écoutais jouer du piano.
J : Vous ne m’écoutiez pas que jouez du piano je pense. Vous m’avez vu plus d’une fois me ridiculisé en jouant certains instrument.
I : Vous ridiculisez ? Non, jamais vous jouez si bien. Ce serait un péché de nier votre talent. Il leva soudain ces pupilles vers elle comme illuminer par ces paroles.
J : Merci. Lâcha-t-il et s’avança vers son piano. Je ne voulais pas vous faire peur mais juste souligné le fait que j’apprécierais qu’en lieu et place de m’écouter jouez en cachette que vous vous asseyez sur cette chaise et que vous me faite parvenir vos remarque. Enfin si vous le voulez bien. Le regard d’Ivy s’illumina.
I : Bien entendu monsieur…Jared. Il se concentra alors pleinement sur son piano. Ivy toute heureuse ne se souvint de Layla qu’une à deux heures plus tard. Elle s’apprêtait à partir quant-il lui proposa de jouer avec lui.
I : Mais mon… Jared vous savez j’ai deux mains gauches … je crains d’abimer votre piano.
J : J’insiste… mais si vous ne voulez pas. Elle sauta sur l’occasion de se rapprocher de lui et couru à la limite s’asseoir près de lui.
I : Puis-je me contentez de regarder ?
J : Selon votre convenance. Il posa ces longs doigts fins sur les touches du piano et lentement de simple sons se transformait en une mélodie si douce qui était un régal pour les oreilles. Cet homme était réellement douée. Elle se leva et alla dansé pour lui suivant le son de la musique. Il se perdit dans la musique mais le simple fais de la vois dansez pour lui, lui fit du bien. Ce qui l’amusa et l’incita à continuer. Alors comment était-ce ? J’espère ne pas avoir été trop mauvais…
I : C’était merveilleux, prodigieux en plus c’est la première fois que vous le jouer en entier. J’en suis convaincu ce morceau que vous veniez de jouer mérite d’être jouez dans les plus grands opéras de Londres. Il fut surpris par les étoiles qui brillaient dans les yeux d’Ivy. Elle revint s’asseoir à son coté.
J : Je vous remercie. En fait je n’y songeais pas vraiment mais Layla voulait que je le joue demain au bal sous anonymat. Comme cela je ne saurais pas embêté à jouer. Mais je vous avoue que j’hésite encore.
I : Vos composition sont profonde à la fois triste. Vous avez su transformez votre souffrance, votre douleur en des notes si je puis me permettre.
J : Et si au moment crucial je ne me souvenais plus de ces notes. Tant de préoccupation gouverne mon esprit.
I : Si cela venait à vous arriver, souvenez-vous de moi. Il la regarda.
J : Je ferais de mon mieux. Vos mots m’ont convaincu de tenter ma chance demain. Je tenais à vous remercier d’une quelconque manière.
I : Alors répondez-moi. Puis-je vous parlez sans détour ? Il hocha de la tête. Ne suis-je pas attirante à vos yeux ?
J : Comment pouvez-vous en douter.
I : Est-ce que je le suis Jared ? Avoua-t-il troublé.
J : Oui…
I : Alors pourquoi elle ?
J : De qui parlez-vous ?
I : Je parle bien sure de Suzy. J’avoue qu’en plus d’être attirante physiquement qu’elle possède de nombreux atout féminin comme sa poitrine généreuse. Une peau bien garnis et un magnifique corps nu.
J : Je ne suis plus sure de vous suivre. Ou voulez-vous en venir ?
I : Je l’ai vu quitté votre chambre un matin, très tôt avant même que les coqs ne chantent. Il la regarda confus pendant un moment. Il eut comme un déclic et se rappela soudainement.
J : Non ... Vous vous méprenez ...ce fameux soir. Trop ivre pour reconnaitre ces appartements le duc c’est affalé sur mon lit. Après en être rendu compte il m’a demandé de faire appeler Suzy et de passer la nuit dans ces appartements.
I : Alors ce matin-là ce n’était pas avec vous qu’elle avait passé la nuit mais avec le duc.
J : Oui en effet. Les joues rouges de honte. Elle se leva avec hâte et voulut partis quand il lui attrapa la main. Est-ce cela que vous désiriez en échange ?
I : Oui et non à la fois.
J : Que voulez-vous d’autre ?
I : Que nous fassions un accord.
J ; Un accord de quel type.
I : Si demain vous réussissiez à jouer ce morceau en entier, vous ferez de moi une femme. Dit-elle en le foudroyant du regard. Il l’a regarda sans un mot en cherchant les mots approprier pour cacher sa stupeur.
J :Vous désirez que je fasse de vous une femme.
I : Oui.
J : Et dans le cas contraire.
I : Je ne viendrais plus vous écoutez jouer. Il avait du mal à déglutit tellement l’intensité du regard sérieux d’Ivy le captivait et suscitait sa nervosité. En d’autres terme monsieur si vous n’arriviez pas à jouer demain s’en ait fini de notre relation. Elle quitta alors la pièce sur son regard troublé. Dès qu’elle referma la porte elle soupira un bon coup en se remémorant ce qu’elle lui avait dit.
PDV d’Ivy
Qu’avais-je fais ? Je venais de lui poser un ultimatum. Alors que c’était la première fois qu’il faisait attention à moi. Que va-t-il penser ? Que je ne suis qu’une pauvre fille ? Je ne suis peut-être pas encore prête. J’en fais encore des cauchemars sur ce vieux professeur de Nathaniel qui a tenté de me violé. Je revois encore sa main posé sur mes lèvres. Pendant que l’autre soulevait ma robe et retirait ma culotte
Cela m’avais tellement affecté. J’avais pour ainsi dire perdu gout à la vie. Je ne faisais que ce qu’on me disait. J’étais sans vie. De nombreuses personnes l’on remarquer, Layla, ma mère et quelques membres du personnel et ont tenté d’en savoir plus j’ai prétendu que c’était l’effet d’une prise de conscience. Ma mère elle en était fière. Layla en doutait. Et les autres eh bien je suppose qu’il s’en fichaient. Heureusement que Nathaniel était là ce jour-là. Je devrais peut-être lui offrir quelques choses qu’il désire bien sur tant que cela reste dans mes moyens. Sans lui qui c’est ce qui me serait arriver ? La vie n’est pas de tout repos pour les jeunes filles dépourvu de statu sociale. Je devais m’y attendre nous n’existons que pour servir la monarchie et ces membres. Bien que Lala essaie de nous mettre sur un même pied d’égalité. Elle n’arrivera jamais à ressentir ce que nous nous ressentons. Obliger de servir pour pouvoir survivre. Cela n’est qu’une question de chance. J’aurais pu naitre à sa place et elle a la mienne. Et vivre la vie qu’elle vit. Avoir d’aussi bon frère... Cessons de penser de la sorte. Elle m’a faite appelé je devrais peut-être m’y rendre bien qu’il se fasse tard. Je me demande bien pourquoi elle souhaite me voir. Ou peut-être voulait-elle encore que nous sortions. D’ailleurs depuis notre sortit, il semble qu’elle soit plus propice à la luxure. J’ai bien peur qu’elle commette l’irréparable. Par curiosité elle pourrait même convoquer l’un de nos valets les plus désirable dans sa chambre. Non chassons ces idées non catholique de ma tête. Elle n’en serait pas capable ? Si, enfaite. Je courus vers sa chambre le cœur battant. Et ouvrit la porte sans frapper. La pièce était plongée dans le noir. Je refermais la porte et m’approchais du lit. Une couverture la recouvrait elle et un autre individu.
I : Layla non ! Je soulevais sa couverture et elle ouvrit ces yeux en ma direction. Elle était belle et bien seul. Son oreiller lui servait simplement de peluche. Cela devait être lui que j’avais confondu à un individu. Elle me regarda en baillant alors que je soupirais.
L : Qu’il y a-t-il Ivy ?
I : Vous m’avez fait appelez.
L : Oh je vois. Est-ce le sommeil ou je t’ai entendu me vouvoyer.
I : C’était le sommeil. Elle se leva alors de son lit. S’étira puis alla allumé une chandelle.
L : Pourquoi avoir mis autant de temps à venir ?
I : Je… la chandelle éclaira soudainement une sublime robe verte. Brodé à la main. Sa dentelle était parfaitement agencé et les motifs me subjuguaient. Je m’approchais vers celle-ci et la touchais. Le tissu était d’une qualité sans précédent. Cette robe en soie était d’une beauté a coupé le souffle. Je me tournais alors vers mon ami. Qui me souriait.
L : Te plait-elle ?
I : Elle est magnifique, Layla. Elle t’ira à ravir. Est-ce-t-elle que tu mettras demain ?
L : Non.
I : Pourquoi ? Ce serait de la folie de ne pas la mettre. Elle est pourtant sublime.
L : Parce que je ne l’ai pas fait pour moi…
I : Alors pou...pour qui est-ce ? Son regard me parcouru. Et je compris ce à quoi elle faisait allusion. Non… non tu n’es pas sérieuse.
L : Si, elle est pour toi. Je restais là fixant la robe en me demandant si j’avais bien entendu. C’était pour te remercier d’avoir toujours été là avec moi.
I : Il ne fallait pas. Je n’ai rien d’une si grande valeur à t’offrir.
L : Si détrompe-toi.
I : Quoi ? Dis-le moi je suis totalement perdu.
L : Ta présence demain à mon bal. Je la regardais les yeux grands ouverts. En me demandant si ce soir mes oreilles fonctionnaient-elles toujours. Parce que ce qu’elle venait de m’annoncer n‘était tout simplement que signe de folie.
I : Layla non !
L : Ce n’étais pas une proposition mais un ordre. Vêtu dans cette robe tu pourras te rapprocher de mon frère sans qu’il ne te reconnaisse. Je la regardais comme si elle avait perdu la tête et me mit à toucher son front. Je vais bien Ivy, pas besoin de vérifier ma température. Avant-hier tu m’as prêtés tes vêtements aujourd’hui c’est à mon tour de faire pareil.
I : Supposons que j’accepte. Qu’allez-vous faire si quelqu’un remarque la supercherie.
L : Personne ne le remarquera puisque tout le monde portera un masque. Dit –elle en prenant un et en me le mettant dans ma main.
I : Et à minuit quand les masques tomberont que ferais-je ?
L : Je vous ferai signe avant que cela n’arrive comme cela vous pourriez discrètement quitté le bal et vous rendre dans votre chambre.
I : C’est tout simplement de la folie. Et si des jeunes hommes de votre milieu m’aborde vous savez que je ne suis pas très douée pour communiquer avec des hommes appartenant à votre monde.
L : Vous leur donnerez un faux nom. Miss Frozen par exemple.
I : Et s’il doute de mes origines.
L : Vous leur direz que vous n’êtes pas d’ici que vous êtes une de mes connaissances d’Amérique. Je l’a regardais toujours hésitante. Ne rêvez-vous pas de gouter ne serait-ce qu’un nectar de mes obligations entant que sœur du duc ? Me questionna-t-elle en prenant mes mains.
I : Ne te méprend pas une partie de moi pense toujours que cela reste une mauvaise idée.
L : Alors qu’une désire gouter à ce fameux nectar.
I : En effet.
L : Alors ne nous attardons plus sur la question vous suivrez ce que cette deuxième partit de vous vous murmure. Elle n’avait en nullement tort. J’ai toujours souhaité voulut assisté un jour à un bal comme toutes ces jeunes filles. Maintenant que l’occasion se proposait à moi, je ne faisais que la repoussé parce qu’elle me paraissait irréel. Je soupirais et lui répondit.
I : Tu as raison. Mais comment ferons nous pour ma mère ?
L : Je ferais en sorte qu’il ne reste que nous dans ma chambre. Et cette fois-ci ce sera à moi de te maquillé. Elle eut u rire enfantin. Cela a toujours été mon rêve de nous voir assisté à un bal ensemble.
I : Alors tentons de le concrétisé.