Le corps de Ève il est parsemé d'encre,
Aux multitudes histoires.
Et sous chacune d'elles,
Des rêves illusoires.
Ève elle aime tatouer,
les gens aux sourires flamboyant.
Ceux au passer dénigrant,
Et aux corps blesser.
Un matin de Juin,
Fumant sa clope devant le magasin.
Elle a vue cette fille aux visage divin,
Et sa démarche contemporaine.
Ève ne l'a jamais vue,
Une p'tite nouvelle pensa t-elle.
Ce demandant ce qu'elle a vécue,
Pour avoir ce regarde artificiel.
Puis quand elle lui demandée de la tatouer,
C'est avec un sourire tellement vrai.
Comme si le simple fait,
De poser l'encre sur ça peau brûlé.
Lui fait prendre conscience,
Qu'il ne sert plus à rien.
D'être toujours en effervescence,
Et que tout a une fin.