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[en réécriture] Lizzie est jolie. Lizzie est intelligente. Lizzie est connue. Lizzie semble avoir une vie parfaite. Mais c'est faux. Car Lizzie a un trou noir dans son passé. Un gros traumatisme qui vient de son enfance. Un drame dont elle était l'unique spectatrice. Quelque chose qu'elle croyait enterré à jamais. Une soif de vérité enfouie depuis longtemps qu'un simple hater va brutalement réveiller. Un commentaire mystérieux, qui semble dirigé par la haine mais qui évoque des détails dont elle n'a jamais parlé dans ses vidéos. Un anonyme qui semble au contraire faire partie des personnes les plus proches de son entourage. Parce que tout n'est qu'une question d'apparence. Et parce qu'on ne sait jamais qui sont les gens des médias quand la caméra est éteinte. Que le poids du doute est lourd, quand la culpabilité nous tiraille. (Nouvelle de 6 chapitres + un épilogue) vingt-quatre avril deux mille dix neuf

[parodie en cours de publication - anciennement appelée "Et nous, alors ?"] > Juste un livre de parodies et d'analyses sur les clichés de �������� (feat mes insomnies) qui est parti un peu trop loin depuis que mon imagination s'en est mêlée. "Je me scotche au visage un petit sourire satisfait et me rapproche de ma cible. Juste devant moi, Madeleine continue d'avancer, ses lèvres figées dans un sourire idiot et naïf, comme si rien ne lui procurait plus de bonheur que d'être ici, en cet instant, dans ce réfectoire bondé d'humains bruyants et de nourriture volante." Bonne lecture !

《 L'essentiel est invisible pour les yeux 》Le petit Prince, Saint-Exupery J'aime lire. Je dirais même plus que ça, j'adore lire. La lecture fait partie de mes passions depuis que je sais déchiffrer les mots et il n'est pas rare de me voir préférer à la compagnie d'humains celle de ma PAL (pile à lire, aka l'indispensable de tout rat de bibliothèque qui se respecte), d'une bonne tasse de thé et d'un plaid confortable. C'est donc en raison de cette passion dévorante que j'ai décidé de créer cette critique littéraire (avec une citation du Petit Prince parce que le Petit Prince) où je vous parlerai de mes lectures, de mes coups de coeur, de mes déceptions mais aussi un peu d'écriture (et de ��������). Enjoy ! [JE NE PRENDS PAS DE COMMANDES WATTPAD] commencé le trente juillet deux mille vingt

- feat : mes insomnies et le sarcasme - et oui, encore un rantbook, je sais...

a bit of poetry, a lot of me a few words, diving into my soul deep into my heart [french and english poetry]

[1ère place et coup de cœur des juges au concours hiver 2020 de @unxpetiteblonde ❤🌻] « Elle hait son corps. Pourquoi ne ressemble-t-il pas aux leurs ? se demande-t-elle sur Instagram. Elle refuse d'accepter que derrière ce physique si parfait dont elle rêve, se tient un mensonge fait de filtres et de retouches. Elle ne voit que la beauté qu'on lui vend, beauté sans défauts, beauté irréelle, beauté éthérée à laquelle elle ne correspond pas. Mais ça lui paraît tellement beau, tellement parfait qu'elle y croit, à ce rêve. Elle se dit que ça doit être la réalité. Qu'elle devrait y ressembler. Alors elle s'acharne, en vain. Ô incontestable Société ! Et ton jugement impitoyable qui ne laisse passer aucune tare, ni les courbes affaissées de la quinquagénaire, ni l'acné juvénile, ni la moindre, ne serait-ce qu'infime, trace de cellulite. 《 Défaut 》 , ce mot tabou, interdit, inconjugable au féminin ! Accepté chez les hommes, tû et étouffé chez les femmes, il n'a pas de place sur leur corps parfait, mesuré, pesé, jugé, critiqué en permanence. » L'histoire de Chloé et de ses erreurs, tout au long de son adolescence. Ses questionnements sur la femme et son corps, sur les standards de beauté et sur la société. L'histoire de Chloé, et celle de millions de femmes et de jeunes filles dans le monde. Parce que vous êtes magnifiques, comme vous êtes ❤ [chapitre unique de 2000 mots] ☪️ premier juillet deux mille vingt

elle était sa muse il était un artiste elle était son pantin il tirait les ficelles ils étaient amoureux et il l'a étouffée par @starlightinmysoul- ☪️ vingt-deux août deux mille vingt et un

On était sympathiques Anna, Mike, toi et moi. On était un peu en perdition mais on allait se relever ! La vie c'est des hauts, c'est des bas, c'est des pauses, des respirations pour repartir : du bas vers le haut. C'est dans cette optique qu'on a gagné Paris : ça devait être beau, incarner notre break pour un joyeux renouveau. Comme ça sonne romantique.

Ce n'est pas qu'une histoire de cônes et de bâtonnets. ⠨⠉⠑ ⠝'⠑⠎⠞ ⠏⠁⠎ ⠟⠥'⠥⠝⠑ ⠓⠊⠎⠞⠕⠊⠗⠑ ⠙⠑ ⠉⠹⠝⠑⠎ ⠑⠞ ⠙⠑ ⠃⠡⠞⠕⠝⠝⠑⠞⠎. Gagnant du concours Open Ur Mind dans la catégorie Poésie (2.09.2017) #43 dans Poésie (18.07.17) © JSUP | juin 2017 collection « Astéroïde »

Oliver a 17 ans. Oliver adore l'été. Ses vacances à la mer en particulier. Il n'est évidemment pas le seul, c'est un adolescent comme beaucoup d'autres ; la période estivale est appréciée de tous, après tout. Toutefois, ce n'est pas pour les mêmes raisons que celles de ses amis. Ce qu'il apprécie, ce n'est pas se faire dorer au soleil ni les joyeuses baignades dans l'océan, non, lui il veut simplement observer les créatures marines. Ces animaux qui le fascinent autant qu'ils l'attirent, et ça, depuis son plus jeune âge. Des poissons aux écailles scintillantes aux envoûtants et terrifiants requins, il pourrait passer des heures à les admirer ! Et si cet été-là, ce n'était finalement pas eux qui allaient le subjuguer ? Et si cet été-là, c'était complètement différent ? Une rencontre fortuite. Deux garçons. Un été. Une idylle éphémère...