Me voilà devant l'orphelinat'' Wool's Orphenage". Il était situé dans un coin sinistre et grisâtre de Londres, il respirait la tristesse, la désolation et la peur.
L'orphelinat est un bâtiment carré, plutôt sinistre. Quelques marches mènent à la porte d'entrée. La cour est nue et elle est entourée par des hautes grilles et par un portail en fer forgé. Un frisson me parcourt l'échine. Heureusement que je ne resterai pas plus de quelques jours ici. À la première opportunité, je vais au chaudron baveur, trouve un moyen de contacter Dumbledore et mets hors jeu Tom. Pour l'instant mon plan se résume à ça, mais je préfère voir sur le moment et aviser. Hermione aurait sûrement secoué la tête et m'aurait fait un long discours sur l'importance d'avoir une stratégie qui imagine toutes les possibilités pour ce genre de mission, Ron lui aurait sûrement déjà foncé dans le tas. Un sourire triste apparaît en pensant à eux. Ils me manquent.
La dame, qui m'a expressément ordonné de l'appeler Directrice Cole me lance un regard réprobateur. Et me demande de la suivre. Nous rentrons dans ce bâtiment macabre et suivons un dédale de couloirs. Je vois plusieurs enfants à l'allure chétive. La guerre à dû sévèrement les toucher.
Elle me conduit dans le dortoir numéro 26 ou deux lits son présent, elle me désigne la deuxième couchette encore intact tout en fond de la pièce, un endroit que la lumière n'atteint pas.
-À partir de maintenant Monsieur Prince vous serez sous ma responsabilité. Dans mon orphelinat il y a des règles, la première : respectez et obéissez aux membres du personnel en toute circonstance. Deuxième: aucun vole de nourriture ou autre est permis sous la peine d'une punition. Troisième : si vous faites le moindre remue-ménage, dérangement vous serez sévèrement sanctionné. Le reste des règles vous seront expliqué part votre partenaire de chambre plus tard. Enfilez les vêtements qui se trouve dans l'armoire puis rejoignez le hall, un employé vous fera le tour des lieux pendant que je finaliserai vos papiers. Une question ?
-Non Directrice Cole, tout est clair, merci de vos explications.
Elle lâche un léger sourire puis sort de la pièce. Je prends les vêtements légèrement trop grand et les enfile. Le temps avait déjà commencé à effacer les miens, c'était une question de temps avant qu'ils ne disparaissent complètement. De même pour mes lunettes, je les retire et les met dans la poubelle. Je vois flou sans elles mais étrangement moin qu'avant. Sûrement grâce à la potion. Je met la petit pochette remplit d'argents dans la poche de mon pantalon.
Je regarde par la fenêtre, les grandes grilles nous coupant du monde était les même que celle des prisons moldu que j'ai vu à la télévision, elles sont un obstacle pour ma mission. Il faut que je trouve un autre moyen de sortir.
Je descends par le chemin que j'ai tant bien que mal mémorisé et vois une dame dans la quarantaine avec un tablier blanc. Ça doit être elle l'employé.
-Bonjour mon grand, je m'appelle Martha et je suis ravie de faire ta connaissance. Nous serons amené à nous voir souvent à partir de maintenant. Je vais te faire découvrir les lieux puis te laisserai te familiariser avec les résidents.
Malgré sa tentative d'être courtoise et agréable je sentais que je la dérangeait et qu'elle à été forcé de faire ça, de plus sa phrase laisser entendre que personne ne m'attendais dehors.
Je lui réponds par la même politesse puis elle se met à me faire découvrir l'institution. La cafétéria est grise et grande, la cour était nu sans la moindre verdure, les classes délabré et bien d'autre encore. Malgré que l'on pouvais remarquer qu'il y avait peu de moyen financier on ne pouvait pas reprocher la propreté impeccables des lieux mais tout restaient morne.
Tout le long de la visite je n'es pu remarquer aucun moyen de m'échapper de cette prison. Tout était barricadé et des grilles haute entouraient l'orphelinat. Mes chances de fuites étaient bien trop faible, surtout sans ma baguette.

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Possession
RandomIl savait qu'il allait perdre, il en avait aucun doute. Sa dernière chance était de changer ce qui s'était déjà passé, au risque de se perdre lui même. Mais voilà que face à son plus grand tourment, il baisse sa baguette. Pourquoi ? Le voilà entra...