Tu étais la lumière, un phare éclatant,
Mais tu brûlais mes yeux, me rendant aveuglant.
Sous ton regard, je m'éteignais peu à peu,
Comme un soleil qui s’éteint sous des cieux sans feux.Mon cœur était une prison d’argent,
Où tes caresses étaient des serments déchirants.
Chaque souffle de ton amour, un vent cruel,
Me poussait au fond d’un abîme sans ciel.Ton amour était une rose épineuse,
Ses pétales brillaient, mais sa promesse était sinueuse.
Les années m'ont sculpté comme une marionnette,
Ton rire était mon fil, ma vie, ta silhouette.Mais un jour, l’acier a cédé sous mes mains,
Et la corde s'est rompue, fin de notre chemin.
Je suis tombé dans le silence et la nuit,
Mais ton amour reste, comme un poison qui fuit.
