Imagines |Commande Fermée|

Thème : Déclaration + Premier baiser

Spideyfan1007
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Je regardais à travers ma fenêtre, admirant la vie des humains en action. Je voyais des personnes depuis le vingtième étages. Des moteurs remplissaient la ville de pollution et de bruit infernal. Je soupirais en voyant les lumières des bâtiments en face de moi. Je pouvais encore voir des personnes travailler dans leur bureau. Mais de là où j'étais, je pensais voir des fourmis.

Je souriais, me disant que la nature était d'autant plus grande que petite. La nuit recouvrait New-York à présent. Quelques nuages gris se faisait voir entre les étoiles. La lune en forme de croissant était d'un blanc sage et pure. Je soupirais d'aise face à cette magnifique vue. 

Je ramenais mes bras autour de mes jambes, ma tête contre le bois de la fenêtre. Je faisais souvent cela le soir, quand je n'avais pas tant de devoir avec mon lycée. Je soupirais d'aise en fermant les yeux.

Je sursautais quand un bruit se faisait entendre de l'autre coté de ma fenêtre. Je rouvrais mes yeux pour découvrir Spiderman, sur l'échelle de secours. Ce dernier retirait son masque, laissant apparaître le magnifique visage de mon meilleur ami. Il me souriait, je faisais de même avant de me lever, ouvrant ma fenêtre. L'air frais me faisait rapidement frissonner, je prenais ma veste en coton et revenait à côté de la fenêtre pour la refermer, Peter étant entré.

- Je peux savoir ce que tu fais ici, si tard ? demandais-je en m'installant comme avant.

- J'ai voulu passer dire bonjour à ma meilleure et fabuleuse amie. J'ai le droit ? me demandait-il avec un air innocent.

Je lui souriais en hochant. Je me baissais pour placer ma tête sur ses jambes, le regardant tout de même à l'envers. Je le voyais sourire et légèrement rougir. Je tournais mon regard vers la fenêtre alors que Peter me caressait soigneusement les cheveux.

- Comment tu vas ? me demandait-il subitement.

Je soufflais en replaçant ma tête correctement sur ses jambes pour ne pas lui faire de mal.

- Mieux, je suis sur la fin de mon deuil d'après le médecin. Je reprends gout à la vie, lui disais-je calmement.

- C'est une bonne nouvelle, disait-il en continuant ses caresses. J'aime ton sourire franca et non sarcastique, disait-il en me souriant.

Je me relevais pour lui faire face à présent. Je prenais mon courage à deux mains pour lui annoncer une vérité.

- Mais c'est toi qui me fait sourire à nouveau, tout ses efforts que tu as fait pour moi. Je ne pourrais jamais autant te remercier Peter, lui disais-je calmement.

Peter souriait bêtement, ce qu'il me valait un ricanement. Je voyais Peter se rapprochait pour prendre mes mains dans les siennes. Je soupirais face à ce contact froid, du à la fraicheur de la nuit. Mais bizarrement, se contact réchauffait mon corps entier.

Depuis la mort de ma grand-mère, je ne vivait plus, je ne bougeais plus, cloitrait chez moi. J'avais perdu le gout de la vie. Et Peter m'avait réconforter durant tout mon deuil. Il avait connu cela avec songrand-père et j'etais à l'aise que sa présence. Parfois même, il me prenait la taille avec son bras et m'emener dans les airs. J'avais beaucoup aimé ce moment, dévoilant un bien être et de l'amour pour mon meilleur ami.

Je soupirais en me souvenant de cela.

- C'est le but d'un meilleur ami, disait-il proche de moi.

Son souffle venait s'écraser contre mon visage, revelant la menthe fraiche. Je relevais mon visage, revelant la courte distance qui séparait nos lèvres. Je respirais, sentant son parfum incroyablement enivrant. Je tentais de toujours fixer ses yeux, mais je voyais que lui descendait son regard vers mes lèvres. Je me mordais la lèvre, ne contrôlant plus mes gestes.

Peter se rapprochait en fixant mes yeux, demandant si il avait le droit. Je decidais de rompre la distance pour enfin coller nos lèvres. Le baiser se transformer rapidement en baiser pasionné. Nos langues tanguaient parfaitement ensemble. Des sensations tels que celle de notre escapade reprenait vie dans mon ventre. Je lui mordais la levre sans le vouloir, ce qui intensifier encore le baiser. Mais nous nous séparions par manque de souffle.

Quand nous reprenions conscience, nos souffles saccadés se rencontraient. Je lui souriais timidement. Alors que lui, se placait debout, venait prendre sa place derrière moi. Je me reposais sur son torse pendant que ses bras entourés mes épaules.

Sans m'en rendre compte, je sombrais dans un sommeil réparateur. J'avais développé l'amour pour notre héros à plus de galaxis qu'il y avait dans l'univers. Je l'aimais, mon héros.

***

Voilà ! J'espère que c'était ce que tu attendais.

J'espère qu'il t'a plu !