抖阴社区

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𝐈𝐍𝐓𝐄𝐑𝐌𝐄𝐃𝐄
où seules les voix importent ─ et pas la
mienne, là, arrêtez de me poser des questions !
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┍━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━┑𝐈𝐍𝐓𝐄𝐑𝐌𝐄𝐃𝐄où seules les voix importent ─ et pas lamienne, là, arrêtez de me poser des questions !┕━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━┙

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―  Bah, ça man, c'était incroyable ! Je ne savais même pas que c'était possible !

―  Tu as remarqué que tu venais de battre un maître Voleur et Chercheur, Wend ?

―  Je ne vois pas quoi dire, mis à part que je n'aurais pas besoin de t'apprendre à te servir d'une épée, d'après ce que j'ai vu...

―  Wendyalen, l'Insaisissable. Ouais, c'est sans doute maintenant que ce nom te va le mieux.

―  Heureuse que tu sois en vie, Wend.

―  N'abandonne jamais, hein. Et heureusement que tu as appliqué ce principe à la lettre : ça nous a tous sauvés !

―  Je ne sais plus quoi dire tellement c'est fou... 

―  Tu es un héros, Wend. Le héros de Staldish.

―  Erwan serait fier de ce que tu es devenu. De ce que tu as fais pour lui, pour nous tous.

―  Maintenant, quoi que tu fasses, tout le monde le remarquera.

―  Tu as réussi, Wend. Tu es resté en vie, malgré tout ce qu'il a pu se passer. Et quoi qu'il se passe désormais, tu seras toujours envie. Toujours. Tu es... éternel.

―  Tu as... osé te battre contre le Général – tu l'as vaincu au passage – et tu as continué sur ta lancée d'insolence entre te mesurant à Ritori. Je n'aurais jamais eu le cran de faire ça, Wendyalen ; mais c'était la seul chose qui pourrait contraindre Ritori à... perdre.

―  On raconte que tu l'as tué, Wend. C'est vrai ?

―  Erwan ne t'aurait pas blâmé pour ça, il aurait fait la même chose. Les sentiments sont quelque chose de fort. Bien trop forts pour une unique personne – regarde Deas. Les garder pour soi, c'est mauvais, Wend.

―  Wendyalen. Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu nous écoutes, au moins ? Tu nous entends ? T'es avec nous ou tu restes qu'avec tes propres pensées et remords ? Tu es où ?

―  Quoi ? Pas de « man », ou de « mec », de petits tacles qui te défoncent juste parce qu'on a parle de ta taille, pas de remarques intempestives et ridicules, pas de sourire moqueur ? T'as disparu où, là ?

―  Tu peux pas t'enterrer vivant. 

―  Tu n'es pas simple à comprendre, Wend, mais là, même moi, je sais qu'il y a quelque chose dans ta petite tête. Quelque chose qui t'énerve, te stresse, te rend anxieux et te fait mourir à petit feu. Ce truc-la, c'est pas bien, alors viens et explique-moi. Sans compter que je tiens à toi, quand même. T'en fais pas, c'est juste par intérêt  – je donne pas dans le pathétique ; c'est juste que sans toi, on va avoir du mal à renverser les Chercheurs. Et Nathanaël, vu qu'il a réussi à s'enfuir, ce petit imbécile...

INSAISISSABLES (ancienne version)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant