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Chapitre 44 : Dangereusement attirant.

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Surprise ! 🥳
Coucou ! J'espère que vous allez bien ?
J'ai posté y'a 1j mais sans savoir pourquoi j'ai écrit ce chapitre à une vitesse phénoménale !
J'ai écouté « Under Influence de Chris Brown » et « Woo de Rihanna » en boucle faites de même ou sortez vos meilleurs sons en commentaire pour les autres 🫠
Bonne lecture ! 🤍

PDV Aria
Clinique.

Les murs immaculés de blanc me faisaient mal à la tête, et ma dernière visite à l'hôpital c'est très mal terminée.

D'où mon léger stress d'être ici.

Le tueur apparut dans mon champs de vision au moment où je pénétrai la pièce.

Il agissait normalement depuis ce qui s'était passé hier et je faisais de même.

Aylan fut le second à entrer après moi, il ouvrit la porte sans aucune délicatesse laissant cette dernière cogner bruyamment contre le mur.

– Tu fais une perquisition pour ouvrir la porte comme ça ? lança alors son frère.

Aylan nous jugea un à un du regard puis prit place.

– Je saute la partie où je suis censé dire que je suis content qu'il soit pas mort et bla-bla-bla, soupira t'il en se laissant tomber dans le canapé. Parce honnêtement, j'ai vraiment la flemme.

Je prenais place sur l'un des fauteuils au chevet de Matthew et lui lançai un petit sourire qu'étonnamment il me rendit.

– Demandez à refaire des examens, s'exclama Aylan en se redressant du fauteuil dans lequel il était affalé. Il vient de sourire là ?

– C'est l'effet Aria ça, déclara Sophia assise près de lui.

Elle émettait un petit rire et me lançai un regard complice.

– Finalement, je m'inquiète, avoua t'il les sourcils froncés. Tu es sûr que ça va ?

– Tu me les brises petit con, si je me lève de ce lit, je vais te défoncer, le menaça le concerné.

Aylan arquait un sourcil et le dévisageait d'un air hautain tout en dénonçant :

– C'est bon il est comme d'habitude mais n'empêche que t'es vachement aigri, mec.

Je ne pus m'empêcher d'afficher un sourire qui s'effaçait au moment où je tournai la tête vers le tueur et remarquai qu'il me regardait déjà.

– Enfin bref, conclut le frère d'Alessio. C'est pas que je m'ennuie mais c'est le cas, on y va ?

– Impossible, intervint soudainement Kaïs en passant le seuil de la porte. T'as pas ramené ton siège auto.

Aylan était grand pour son âge, il paraissait seulement plus petit par à rapport aux autres.

– Très drôle le titan, t'as retrouvé ton humour en cours de route ?

– Je l'ai récupéré en même que ta taille, rétorqua t'il. J'en ai profité pour la glisser dans ma poche.

– T'es tellement grand qu'atteindre le septième ciel pour toi c'est pas juste une expression.

– T'es tellement proche du sol que je dois m'accroupir pour pouvoir te regarder dans les yeux.

– Faire la taille d'une girafe pour toi c'est pas seulement une façon de parler.

Je laissai échapper un petit rire amusée par leurs querelles.

Et à mon plus grand étonnement, Kaïs également esquissa un petit sourire, le premier depuis plusieurs semaines.

Ça me faisait plaisir de retrouver un peu du vrai lui. Je crois qu'avoir une piste lui apportait de l'espoir.

EL PADRINO | T.1/T2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant