Why is it so complicated?

Chapter 29: Why did I behave like this? And what am I gonna do now? (Part 4)

Niall: Sympathique, comme accueil.

J'ébouriffai le faux blond -qui, je remarquai, était en train de redevenir brun petit à petit- , alors que nous éclations tous de rire. 

Liam: Surprise!

Il secoua fièrement quatre trousseaux de clés en l'air.

Moi: What. The. Real. Fuck?

Niall: Ton langage, petite.

Il agita en l'air un doigt accusateur.

El: Nous avons acheté les quatre appartements du dessous.

Moi: Quoi?!

Louis: Nous avons acheté les...

Je le coupai. 

Moi: Non, mais ça, j'avais compris. Vous avez juste acheté les quatre étages du dessous, comme ça?

Niall: Ouais.

Louis: On vient vivre ici, c'est cool, non?

Moi: Ouais, génial.

Liam: En plus, les apparts sont reliés entre eux de l'intérieur par un ascenseur.

Moi: Ah! C'est ça la pièce entourée de rideaux noirs que tu refusais de me montrer?

Harry: Ben oui, c'était une surprise, fallait pas que tu voies la cage d'ascenseur, elle est vitrée. 

Moi: Eh ben, pour une surprise, c'était une excellente surprise!

Je les serrais tous dans mes bras quand je réalisai une chose.

Moi: Attendez.

Je me détachai.

Moi: Quatre appartements?

Liam: Oui.

Moi: Quatre? Mais vous êtes trois!

Harry: Euh...

Louis: Ben, il est pour...

Liam: Pour Harry.

El: Oui, c'est ça, pour Harry.

Harry: Pour moi?

Niall le fusilla du regard.

Niall: Pour toi, oui.

Bon, ça devient ridicule, là.

Moi: Vous me prenez à ce point pour une conne, c'est ça? Vous croyez que je n'ai pas compris votre petit jeu? Vous croyez que je n'ai pas compris qu'il est pour Zayn, ce loft?!

Ils baissèrent tous la tête.

Moi: Franchement, j'en ai rien à foutre, strictement rien à foutre! Mais vous auriez quand même pu me prévenir! Et puis, de toute manière, ça n'aurait rien changé. Tout ce que je vous demande, c'est qu'il prenne le dernier appart, celui du bas.

Je crois que j'ai un peu (beaucoup) gueulé. Bien fait pour eux. Je partis, claquai la porte de ma nouvelle chambre et l'effondrai sur le lit, la tête enfouie dans mon oreiller. Les larmes menaçaient de s'échapper, mais je en les empêchais plus. Les digues se fracassèrent et je sentis mon oreiller se tremper rapidement. Ce n'était pas vrai. Ce n'était pas vrai que je m'en foutais. Ca me faisait mal de devoir le revoir. Mon téléphone sonna. L'afficheur indiquait Alice. Je l'avais oubliée, elle.